(Translated) For our very first real estate purchase which took place in 2018, we turned to Me Mélanie Laroche. As buyers, we had to bear the fees; it is therefore we who were the actual clients. The acquired building consists of a rustic cabin connected to a sealed pit and a septic tank. Even though the seller - whom she knew personally - had misplaced the certificate of location provided to her by the previous owner in 2004 (no longer valid anyway), she did not recommend that the seller have her land surveyed. , and this, even if the fact of providing a certificate of location was nevertheless conditional on the sale in the promise to purchase accepted by the seller. Mr. Laroche instead offered us title insurance, an option that was less costly for him. His suggestion with respect to the costs incurred by title insurance, an option, which, I recall, allowed the seller to avoid having to produce a certificate of location, was to share the costs between the two parties (!). refused (phew, our only proud moment in this story).
As young novices, we would have liked to be referred and to have our rights known, as it was not in our interest not to require a certificate of location, especially since the promise to purchase did so. mention and that the property is a chalet not served by an aqueduct system (so today we have very little information on our septic systems ...) Have our interests been put forward during this transaction? We are not convinced.
(Original)
Pour notre tout premier achat immobilier qui a eu lieu en 2018, nous nous sommes tournées vers Me Mélanie Laroche. En tant qu'acheteuses, nous avions à assumer les honoraires; c'est donc nous qui étions les clientes à proprement dit. L’immeuble acquis consiste en un chalet rustique relié à une fosse scellée et à un champ d’épuration. Même si le vendeur — qu’elle connaissait personnellement — avait égaré le certificat de localisation qui lui avait été fourni par l'ancien propriétaire en 2004 (plus valide de toute façon), elle n'a pas recommandé que le vendeur fasse arpenter son terrain, et ce, même si le fait de fournir un certificat de localisation était pourtant conditionnel à la vente dans la promesse d’achat acceptée par le vendeur. Me Laroche nous a plutôt proposé l'assurance-titre, option qui était moins coûteuse pour lui. Sa suggestion par rapport aux frais occasionnés par l’assurance-titre, option, qui, je le rappelle, permettait au vendeur d’éviter à avoir à produire un certificat de localisation, fut de partager les frais entre les deux parties (!) Nous avons refusé (ouf, notre seul moment de fierté dans cette histoire).
En tant que jeunes novices, nous aurions aimé être aiguillées et qu’on fasse savoir nos droits, comme il n’était pas dans notre intérêt de ne pas exiger un certificat de localisation, d'autant plus que la promesse d'achat en faisait mention et que la propriété est un chalet non desservi par un système d'aqueduc (nous avons donc aujourd’hui très peu d'info sur nos installations septiques...) Nos intérêts ont-ils été mis de l'avant lors de cette transaction? Nous n'en sommes pas convaincues.