(Translated) FROM A.C. DAVIE TO SITE DAVIE
The "Davie", A.C. DACIE shipyard in Lauzon, was inaugurated in 1832. While in its early years the shipyard was located near the current Quai Paquet - it is also possible to see the old installations there; "dry dock", pulling winch, hydraulic installations, etc.
Later, in 1880, Georges-Taylor-Davie bought from his mother-in-law, Mary Patton, the space needed to build a refit-style dry dock (a concave dock that accommodates ships). In 1889, the yard moved to its current location.
In the 20th century, the shipyard had two dry dock including the Lorne and Champlain dock. The latter is the largest in Canada. The shipyard itself is the largest in the country, in addition to taking care of all stages of shipbuilding. From the structure to the armament and painting, the "Davie" proceeds from the plans to the launching of its constructions.
WWI (1914-1918)
During the First World War, the Davie shipyard will build more than 400 ships. Renowned for its experienced workforce, engaging these employees among the working class population in the Lauzon neighborhood. It is not uncommon to see father and son making their careers within the company.
TODAY
During the first years of the 21st century, the shipyard saw its contracts drop, losing many of its employees, finding stable jobs. Indeed, forced to put its staff "out of work", its activities will shrink to the point of being on the verge of bankruptcy.
Fierce competition with the Irving shipyards, New Brunswick shipyards, the Davie was finally sold to an English-speaking group, Inocea. Today the
company seems to reconnect with growth.
(Original)
DE A.C. DAVIE À CHANTIER DAVIE
La « Davie », chantier A.C. DACIE de Lauzon, a été inaugurée en 1832. Si dans ses premières années le chantier est situé aux abords de l’actuel Quai Paquet — il est d’ailleurs possible d’y voir les anciennes installation; "cale sèche", treuil de tire, installations hydraulique, etc.
Plus tard, en 1880, Georges-Taylor-Davie achète à sa belle-mère, Mary Patton, l’espace nécessaire afin d’y construire une cale sèche de style radoub (cale concave qui accueille les navire). En 1889, le chantier déménage à son emplacement actuel.
Au 20e siècle, le chantier maritime possède deux cale sèche dont la cale de Lorne et Champlain. Cette dernière est d’ailleurs la plus grande au Canada. Le chantier en soi, est le plus grand au pays, en plus de s’occuper de tous les étapes de la construction d’un navire. De la structure à l’armement et la peinture, la « Davie » procède aux étapes des plans à la mise à l’eau de ses constructions.
LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE (1914-1918)
Durant la Première Guerre mondiale, le Chantier Davie va construire plus de 400 navires. Renommé pour sa main-d’oeuvre d’expérience, engageant ces employés dans la population ouvrière dans le quartier de Lauzon. Il n’est pas rare de voir au sein de la compagnie, père et fils y faire leur carrière.
AUJOURD’HUI
Durant les premières années du 21e siècle, le chantier maritime voit ses contrats chuter, perdant ainsi bon nombre de ses employés, trouvant des emplois stables. En effet, contraint de mettre son personnel au « chômage », ses activités vont réduire au point d’être au bord de la faillite.
Une concurrence féroce avec les chantier d’Irving, chantier du Nouveau-Brunswick, la Davie est finalement vendue à un groupe anglophone, Inocea. Aujourd’hui, la
compagnie semble reconnecter avec la croissance.