(Translated) My overall opinion is rather mixed. I, as well as a good number of student colleagues have noticed several small and big problems throughout the training.
First of all, some ex-photographers among the faculty, who have become "professors", have clearly shown their shortcomings in terms of pedagogy or rather, I should say, their lack of pedagogy. However, other teachers in the program stood out for the quality of teaching, the mastery of the content taught and finally, the teacher-student relationship that they offered.
However, the glaring lack of pedagogical skills has received more attention. Myself and several students have been disappointed that some teachers have turned out to be uncomfortable and jaded. Difficult for this purpose to create a significant link or an atmosphere conducive to work / study. Big lack of class management when required. The communication of schedules and postponements of work, examinations, field trips, etc., was faulty, non-respected and would need to be considerably revised.
It should also be noted that there was a lack of discretion and tact on the part of several teachers, which was observed by the students during individual meetings. Make sure you never make mistakes, fool yourself, miss an exam, etc. if you do not want to be humiliated before your colleagues.
The evaluation method is questionable. The minimum threshold of success is 80%. Below this result, the students are in chess and unlike the CEGEP, no revision or negotiation of notes is possible. It is necessary to go to "recovery" which consists in taking again his examination. Which is illogical because how can the student succeed in resuming his exam if he does not have the opportunity to review the concepts missed or misunderstood? The recovery period at which students are strongly encouraged to take part, should be primarily dedicated to reviewing the subject.
There is no form of "adapted service" for students. This represents a major gap since this service is offered from the outset in the major elementary / secondary, college and university institutions in Quebec City (the same School Board of Discoverers which manages the PSC Maurice-Barbeau offers support to the student in all primary / secondary schools under his guidance).
The acquisition of an attitude and professional competence is encouraged by the entire faculty but little, if any, applied by some professors of the program. Indeed, some people do not hesitate at all to let out the coronations, especially treating students as children (eg: restrict access to the classroom during break / dinner, prohibit access to the computer room without the presence of a teacher, etc.). The bond of trust between student and teacher is therefore very weak.
We were two groups of students and at no time did the teachers encourage us to mingle with each other, to create bonds, preferring to keep ourselves apart and in ignorance to foster a form of competition.
Two good points are worth mentioning:
1- The dynamics of our group which was excellent. We were a group of supportive students, always ready to help each other no matter what. Strong friendships were created.
2- The opportunity to learn and photograph things, people, places that might not have been naturally taken to take pictures. The quality of our images was greatly enhanced at the end of the training.
In short, several inconveniences that left us a bitter taste as to the quality of training. Most importantly, there is a CFP that does not involve CEGEPs / universities in terms of quality training. I do not recommend this DEP, except for the inveterate of photography.
(Original)
Mon avis global est plutôt mitigé. Moi, ainsi qu'un bon nombre de collègues étudiants avons remarqué plusieurs petits et gros problèmes tout au long de la formation.
Tout d'abord, certains ex-photographes parmi le corps professoral, qui se sont recyclés en « professeurs », ont laissés clairement paraître leurs lacunes en terme de pédagogie ou plutôt, je devrais dire, de leur absence de pédagogie. D'autres enseignants du programme se sont toutefois démarqués pour la qualité d'enseignement, de la maîtrise du contenu enseigné et enfin, de la relation prof-élève qu'ils ont offerts.
Cependant, le manque criant de compétences en pédagogie ont retenu davantage notre attention. Moi-même, ainsi que plusieurs étudiants avons constaté avec déception que certains professeurs se sont avérés peu sympathiques et blasés. Difficile à cet effet de créer un lien significatif ou une ambiance propice au travail/étude. Gros manque important de gestion de classe lorsque requis. La communication des horaires et remises de travaux, examens, sorties scolaires, etc., était défaillante, non-respectée et gagnerait à être considérablement revue.
Il faut souligner par ailleurs l'absence de discrétion et de tact de la part de plusieurs enseignants qui a été observée par les étudiants lors de rencontres individuelles. Assurez-vous de ne jamais faire d’erreurs, vous tromper, rater un examen, etc. si vous ne souhaitez pas vous faire humilier devant vos collègues.
La méthode d'évaluation est discutable. Le seuil minimum de réussite est de 80%. En-deçà de ce résultat, les étudiants sont en échecs et contrairement au cégep, aucune révision ou négociation de note n'est possible. Il faut aller en « récupération » qui consiste à reprendre son examen. Ce qui est illogique car comment l'étudiant peut réussir la reprise de son examen s'il n'as pas la possibilité de revoir les notions manquées ou mal comprises? La période de récupération à laquelle les étudiants sont fortement incités à prendre part, devrait être avant tout dédiée à réviser la matière.
Il n’existe aucune forme que ce soit de « service adaptés » aux étudiants. Cela représente une lacune majeure compte tenu que ce service est offert d’emblée dans les grandes institutions primaires/secondaires, collégiales et universitaires à Québec (la même Commission scolaire des Découvreurs qui gère le CFP Maurice-Barbeau offre le soutien à l'étudiant dans toutes les écoles primaires/secondaires sous sa gouverne).
L’acquisition d’une attitude et compétence professionnelle est encouragée par l’ensemble du corps professoral mais peu, voire pas du tout appliquée par certains professeurs du programme. En effet, certains ne se gênent pas du tout pour laisser échapper des sacres, en traitant notamment les étudiants comme des enfants (ex. : restreindre l’accès à la salle de cours durant pause/dîner, interdire l’accès à la salle informatique sans la présence d’un professeur, etc.). Le lien de confiance entre étudiant-professeur est par conséquent très faible.
Nous étions deux groupes d’étudiants et à aucune reprise, les enseignants nous ont encouragés à se mêler aux autres, à créer des liens, préférant nous maintenir séparé et dans l’ignorance pour favoriser une forme de compétition.
Deux points positifs méritent tout de même de faire mention :
1- La dynamique de notre groupe qui était excellente. Nous formions un ensemble d'étudiants solidaires les uns envers les autres, toujours prêt à s'entraider quoi qu'il arrive. De solides amitiés se sont ainsi donc créées.
2- L'opportunité offerte d'apprendre et de photographier des choses, des gens, des lieux qu'on aurait peut-être pas été porté naturellement à prendre en photo. La qualité de nos images se sont vus grandement rehaussée à la fin de la formation.
Bref, plusieurs désagréments qui nous ont laissé un goût amer quant à la qualité de la formation. On retiendra surtout un CFP qui n'accote pas les cégeps/universités en terme de qualité formation. Je ne recommande pas ce DEP , sauf pour les invétérés de la photographie.